Bali, premières impressions.
Nous sommes arrivés à l'aéroport de Denpasar à Bali hier en milieu d'après-midi. Trois heures et demi de vol dans un Boeing 747 de Thaï Airways. Un peu fatigué le coucou, mais ca s'est bien passé.
Comme prevu, notre hotel est directement sur la plage, cadre idyllique s'il en est.
Sauf que nous sommes à Bali.
A notre arrivée, petit tour sur la plage après avoir franchi une petite allée piétonne fort encombrée de marchands ambulants. Et là, surprise. La plage jonchée de detritus de toutes sortes, bouteilles en plastique et autres joyeusetés.
Nous buvons une bière dans un gourbi local (ici la marque c'est Bintang), et demandons au Tavernier si c'est une plage ou une décharge à ciel ouvert. Le gars nous répond que c'est la saison des pluies et que les rivières charrient dans la mer toutes les ordures jetées ici et là et que cette dernière, sans doute par esprit vengeur, les renvoie en permanence sur la plage. Il nous a aussi affirmé que la plage était nettoyée tous les matins. Joelle a pu vérifier ce matin qu'une armada de petites mains tentaient désespérément de nettoyer le front de mer. Elle a pu constater aussi combien leurs efforts étaient vains puisque peu de temps après on en était au même point.
Nous comprenons alors combien serait utile ici la jeune Greta Thunberg, au lieu de nous briser les noix avec ses discours accusateurs.
Enfin, il nous reste le soleil (fort) et les deux piscines de l'hotel (clean)
La plage le soir devant notre hotel, c'est quand même un beau pays.
La piscine de l'hôtel qui domine la plage, a l'heure sur de l'apéro.
Un drôle de véhicule encore jamais vu. Un bar ambulant. Tu sillonnes la ville en buvant des bières Et en plus tu tournes le dos au paysage Et tu ne voies que ton viis a vis et ce qui re reste dans ton bock.
Je crois qu'on a touché le fond.